Une semaine sans blog, dont - fait exceptionnel - trois jours sans mail... Incroyable le nombre de trucs que j'ai pas à raconter.
Je m'étais dit que j'ai un vrai travail, que ça attendrait ce soir pour que je fasse le compte-rendu de mes vacances façon rédac de Ce2 ; mais voilà qu'on m'envoie des photos retraçant un ouikend "bouche ouverte" dans une maison de campagne où sont nés simultanément une maquette de disque, une demi-douzaine de chansons, quelques idées de lignes de basse que je serai capable de jouer d'ici une petite centaine d'années, des tas de plans sur la comète et de projets grandioses, et surtout des liens assez difficiles à expliquer...
Et c'était bien.
Voilà donc des photos de la (re)naissance de la Teigne, groupe à géométrie variable...
A bientôt pour des extraits...
2 commentaires:
ayé manu j'ai tout lu...
ya des commentaires que je te ferai dans les yeux mais d'autres que j'ose là sur le blog :
j'aime pas le trait d'union dans compte rendu. j'ai une obnubilation obsessionnelle — c'est dire ! — pour la liaision des mots et ses nuances... ou des trucs comme : on écrit prendre le petit déjeuner (sans -) mais on écrit je petit-déjeune.
" je n'aime pas prendre le petit déjeuner au lit " est une phrase qui m'a valu la semaine dernière deux commentaires contradictoires émanant de la même personne et dans la même journée (c'est fort non ?). d'abord j'ai marqué un point — parce que c'est détestable pour d'autres que moi de manger là où ils dorment (les animaux font ça non ?) — que j'ai brillamment perdu ensuite parce que finalement ça devait être bien à ce moment-là de la conversation de " aimer prendre le petit déjeuner au lit ". mais j'aime pas ça et je ne changerai pas d'idée.
quelques-uns de ceux que j'ai croisés ont essayé d'être plaisants en m'apportant au réveil un plateau plein de miettes en devenir à répandre immédiatement dans mes draps : rateau sur toute la ligne. j'imagine même que certains ont pensé que c'est à mon esprit de contradiction qu'ils devaient mon impossibilité de petit-déjeuner au lit. d'ailleurs je crois que je vais écrire quelque-chose là-dessus quand j'aurai fini de ranger ma bibliothèque — ce que je devais faire au lieu de t'écrire...
quant aux parenthèses et autres ponctuations de la pensée dans tes lignes : j'adore ça parce que ça rend la lecture moins linéaire et que ça oblige à se prendre un peu la tête pour comprendre. poussant même à relire pour être convaincu du sens de ce qui se déroule sous les yeux . ce qui est toujours mieux que la lecture au kilomètre sans bosses ni côtes ou nids-de-poule mais remontées mécaniques au sens préétabli.
beau jour,
LN
Merci Manu graçe à toi je suis un peu la vie d'une personne qui me fut cher continué à vous étalés sur vos blogs j'adore ça.
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