Réveillé le matin avec les idées qui se battent.
Déjà se forcer à poser un mot après l'autre ; essayer de ne pas penser au blog et à ce qui va suivre.
Tous ces infinitifs, on dirait une chanson de Florent Pagny.
L'appart est doucement envahi de tâches ménagères - celles que je devais faire hier et j'ai préféré écrire.
J'ai encore pris 5 bières et un coup sur la cheville au rugby hier soir ; j'adore ça, c'est mon côté maso (Jo Maso ?). Une soirée pleine de chaleur.
Une pensée un peu bizarre pour des amis,
ceux qui sont morts
ceux qui sont partis,
ceux qui se murent dans le silence,
ceux qui m'ont dit à quel point j'étais laid et lâche et méchant et plus jamais,
ceux que je serrerai plus sur mon coeur,
ceux que je retrouverai un jour.
J'écoute Prairie Wind de Neil Young ; pouvoir dire à tous ceux qui me lisent "j'adore écouter cette merveille" est une raison suffisante pour avoir un blog.
Respirer doucement.
Les projets fleurissent presque aussi vite que le linge à laver, et il me faut un esprit calme pour ne pas me mettre à sautiller en glapissant - et réciproquement.
Je pense à un matin dans l'Atlas, une terrasse avec thé à la menthe où un chat galeux avait choisi de se poser sur mes genoux.
Secoue-toi, bonhomme. Tu ne vas pas rester en contemplation toute ta vie, si ?
Aujoud'hui, c'est l'anniversaire de Fée du Nord - cette gentille fille qui a ouvert mon coeur comme un petit chat, d'un coup de griffe, en jouant dans sa colère.
Bon anniversaire à toi, donc - mes premiers mots écrits de ce matin.
Sujet clos, si on passait à autre chose ?
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