12.10.07

Quand j'étais petit, j'étais un Jedi

Et le matin se réveiller en pensant qu'il nous restait 500 millions d'années à vivre,
ou peut-être plus tout en sachant
qu'au bout il y aurait une étoile
nos cendres devenues cendres
et nos chairs tendres poussière

Se lever vers le grand large sans y croire vraiment
Emerveiller ses yeux aux chahuts d'hirondelle
Dans le clair d'un matin dont le lait sous la crème jamais ne reviendra
Le tendre vert disparu à jamais de nos prunelles

Le petit chat est mort, ce matin-là et je m'en sentais coupable comme d'avoir trop désiré








Oh bin merde, les mecs, je crois que je fais de la poésie...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Oh Manu arrête de prêter les clés du camion y'en a qui profite pour écrire
de la poésie.Ouais parce que c'est pas le petit manu qui court avec ses crampons après le ballon qui nous finira comme ça.