Bon, j'avoue, j'ai triché : hier, je n'ai pas posté, et pourtant voici la chronique du jour, agrémentée (?) de son petit proverbe wolof quotidien que la blogosphère tout entière s'arrache.
C'est beau, la technique. Il suffit d'appuyer sur deux-trois boutons et de trafiquer des chiffres, et on n'y voit que du feu. A commencer par l'interfacedeDantonblog : elle voit la date en bas, 31/10, et elle se dit C'est bon, j'ai mon post, mon quota du jour. Et voilà comment on calme les foules.
Ce qui nous amène tout droit à la problématique des apparences, aux illusions, à la relativité, il était temps que les sujets de conversation s'élèvent un peu, en l'absence du maître des lieux, ça commençait à devenir n'importe quoi, ici.
Ceci est donc un post philosophique. Allez, poussons jusqu'à métaphysique. Et un peu social, aussi, à cause des masses qu'on manipule avec les chiffres.
Ca fait réfléchir, hein?
Et donc, pour en revenir au sujet qui nous préoccupe (ce nous est purement royal, je sais bien que je parle toute seule, n'allez pas croire que je n'en sois pas consciente, mais rassurez-vous, je n'en fais pas une habitude, non plus que je m'en flatte particulièrement), hier, je n'étais pas là, j'étais enrhumée à la campagne au pied des montagnes.
Ah zut, il faut que j'écrive ça au présent, vu qu'hier, en fait, c'est aujourd'hui, à cause du trafic de dates.
C'est compliqué, la métaphysique des apparences.
Alors aujourd'hui, je ne pourrai pas venir, je suis enrhumée à la campagne. Heureusement, j'en profite bien quand même sachant que demain, ça va déjà beaucoup mieux.
C'est une journée bio avec des gens que j'aime et des éclats de rire entre les branches des arbres, un déjeuner au soleil, du coeur dans les conversations, et des enfants qui jouent.
C'est bien.
(Et là je repasse à l'imparfait parce que, usage de faux ou pas, en général quand on a passé une bonne journée et qu'on la raconte le soir, on n'en parle pas au présent)
C'était bien.
Et la prochaine fois, ce sera encore mieux, pour la simple raison que "Lu nex du doy"**. Wow, la transition.
Bon, àtout à l'heure demain.
* Ce n'est pas une faute de frappe mais un trait d'humour, dont je suppose cependant qu'il a dû être lancé un nombre incalculable de fois. Je demande à Google, pour voir. 515. Ah, tiens, j'aurais dit plus.
** "On n'a jamais assez de bonnes choses". Et en plus, avec Noël qui approche, c'est le moment de réclamer. Allez, tout le monde dans la rue, après il va faire trop froid.
C'est beau, la technique. Il suffit d'appuyer sur deux-trois boutons et de trafiquer des chiffres, et on n'y voit que du feu. A commencer par l'interfacedeDantonblog : elle voit la date en bas, 31/10, et elle se dit C'est bon, j'ai mon post, mon quota du jour. Et voilà comment on calme les foules.
Ce qui nous amène tout droit à la problématique des apparences, aux illusions, à la relativité, il était temps que les sujets de conversation s'élèvent un peu, en l'absence du maître des lieux, ça commençait à devenir n'importe quoi, ici.
Ceci est donc un post philosophique. Allez, poussons jusqu'à métaphysique. Et un peu social, aussi, à cause des masses qu'on manipule avec les chiffres.
Ca fait réfléchir, hein?
Et donc, pour en revenir au sujet qui nous préoccupe (ce nous est purement royal, je sais bien que je parle toute seule, n'allez pas croire que je n'en sois pas consciente, mais rassurez-vous, je n'en fais pas une habitude, non plus que je m'en flatte particulièrement), hier, je n'étais pas là, j'étais enrhumée à la campagne au pied des montagnes.
Ah zut, il faut que j'écrive ça au présent, vu qu'hier, en fait, c'est aujourd'hui, à cause du trafic de dates.
C'est compliqué, la métaphysique des apparences.
Alors aujourd'hui, je ne pourrai pas venir, je suis enrhumée à la campagne. Heureusement, j'en profite bien quand même sachant que demain, ça va déjà beaucoup mieux.
C'est une journée bio avec des gens que j'aime et des éclats de rire entre les branches des arbres, un déjeuner au soleil, du coeur dans les conversations, et des enfants qui jouent.
C'est bien.
(Et là je repasse à l'imparfait parce que, usage de faux ou pas, en général quand on a passé une bonne journée et qu'on la raconte le soir, on n'en parle pas au présent)
C'était bien.
Et la prochaine fois, ce sera encore mieux, pour la simple raison que "Lu nex du doy"**. Wow, la transition.
Bon, à
* Ce n'est pas une faute de frappe mais un trait d'humour, dont je suppose cependant qu'il a dû être lancé un nombre incalculable de fois. Je demande à Google, pour voir. 515. Ah, tiens, j'aurais dit plus.
** "On n'a jamais assez de bonnes choses". Et en plus, avec Noël qui approche, c'est le moment de réclamer. Allez, tout le monde dans la rue, après il va faire trop froid.
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