Du cul du cul du cul.
Le texte qui suit ne contient presque que ça. Presque. Enfin, un petit peu. Juste ce qu’il faut. Il contient surtout plein d’amour (avec quelques scènes à caractère explicitement sexuel, quand même).
Ceci est donc un avertissement solennel.
Si vous rentrez dans l’une des catégories suivantes, ce texte peut (vraiment) vous choquer, et je vous en déconseille très vivement la lecture, en toute sincérité :
- mère, sœur, cousine, amoureuse, ex-conjoint((e), je ne suis pas sectaire), progéniture, amis proches mais pas si proches qu’ils veulent tout savoir, lointaines relations, camarades de bureau ou de sport et autres connaissances … du blogueur susdit.
- personne à principes, rigide, intégriste, pudibonde, considérant que SA morale est LA morale et qu’une fois cela dit, tout est dit, nom d’un chien, foi de Madame Suzanne.
- personne de moins de 18 ans, vu que c’est illégal et que tu dois donc arrêter de lire maintenant, c’est un ordre, d’abord tu ferais mieux d’être en train d’étudier. En plus, sur d’autres sites il y a des photos, alors zou, va-t’en. Et je suis très sérieux. Et j’ai été prof dix ans, alors t’as intérêt à m’écouter, je m’y connais. Et puis j'ai ton nom et j'ai ta classe.
- académicien, ennemis des rideaux, membre de la société protectrice des Claviers et autres outils de bureau.
Je l’interdirais bien aux rugbymen, aussi, mais vu qu’ils me voient à poil dans les douches, je n’ai plus rien à leur cacher. Je suis un homme comme les autres (en un poil plus petit, d'accord je me répète, mais c'est parce que j'en ai beaucoup). Ceci dit, même vous ça peut vous gêner, par la suite. Et puis vous avez un vrai boulot.
OK, tout le monde a cessé de lire ? Normalement, il ne reste plus aucun lecteur, à part Famjo qui s'en fout, Marie-Cé qui cherchait des textes érotiques et LN si elle le lit toujours. Salut, vous allez bien ? Bon, patientez encore un peu, je remets une couche d'avertissements des fois qu'il en resterait d'autres...
Je vous laisse trois lignes pour faire votre choix. Vous êtes adultes et responsables, ne venez pas m’enquiquiner après. Encore une fois, tout ça est très sérieux. Il y aura plein d’autres posts (en plus, celui-là est super long, environ 16000 signes, ça fait genre 7 pages Word ou 12 pages de roman), et il y a plein d’autres blogs moins crus et pervers. Enfin, si on appelle ça de la perversion. D’autres appellent ça de la sexualité. En tous cas, ça en parle. Et c’est tout sauf pudique (au contraire de moi dans la vraie vie).
Nous nous sommes bien compris ?
J’ajoute qu’aussi agaçant que soit ce teasing, il faut qu’en toute sincérité, avant de lire, vous vous posiez la question : est-ce qu’il y a des choses que je préfère ignorer ? Si la réponse est oui, encore une fois, ne lisez pas : elles risquent d’y figurer. Au moins une partie.
Ainsi donc, le texte qui suit dirait en substance et en toute impudeur ceci :
Ce serait si simple de te parler de toi.
De ta beauté. De ton corps. De ton intelligence. De ton humour.
De ce sourire fantôme qui te vient parfois, comme si tu voyais plus loin, mieux que les autres. Mieux que tous les autres. Mieux que moi, même.
Il faudrait que je te parle de la façon dont tes yeux se posent sur moi, parfois.
De la petite lumière simple que tu allumes.
Mais je voulais te parler d’autre chose.
Je voulais te parler de cul.
Oups. Que c’est vilain, comme mot. Que c’est dur à entendre ou à lire.
Que ça évoque de choses triviales, violentes.
Merde, tiens.
Et pourtant.
Ton odeur, d’abord.
Peut-être pas celle de tous les jours. Pas celle des moments où nous nous blottissons l’un contre l’autre, fatigués, euphoriques, inquiets, rassurés, partageurs, heureux d’être ensemble.
Non. L’odeur secrète que je sens quand mes lèvres descendent vers ton ventre.
L’envie qui me vient de t’entendre soupirer.
La petite musique qui s’échappe de ta bouche quand tu souris autrement.
Quelque chose se réveille en moi.
L’envie de passer ma langue sur ton sexe.
L’envie de me saisir de tes seins. Sentir les premiers mouvements de tes hanches dans mes mains. La douceur de tes fesses.
Te laisser parler. Qu'est-ce que tu dirais, maintenant ? Quelque chose comme...
- Il me suffit de te regarder bouger, vivre, être toi. Te voir me regarder comme si j’étais quelqu’un, et pas n’importe qui. »
Je regarde tout le monde comme ça…
Et alors ?
Alors bien sûr que tu es unique. Comme tout le monde, mon amour.
Mais tu es mon amour.
- Unique et toutes les femmes. Comme dans la chanson de Pauline Crozes. Mais c’est toi. Les autres ne me font pas ça. J’aime les autres regards, mais je préfère le tien, et tout ce qui s’ensuit. Tu en dis beaucoup.
Trop ?
Jamais assez. J’attends toujours la suite. Je sais qu’elle me comblera, et que j’attendrai que tout revienne : ton regard et ce qu’il contient.
Déjà de l’attente, déjà du manque ? Même quand on fait l’amour, tu attends la suite ? (rhââââ je le savais que ça ne durait pas assez…)
Quand on fait l’amour c’est un moment de grâce. Mais l’attente, chaque fois, c’est déjà du plaisir. Une anticipation.
Et maintenant je vais me dire à chaque fois que ça doit être la grâce, la perfection. Quelque chose qui égale ou dépasse ton attente. Ça y est, j’ai des complexes, on n’a qu’à arrêter de faire l’amour, non ?
Quelle drôle d’idée. Arrête un peu de réfléchir.
Je fais de mon mieux. Surtout quand on fait l’amour. Le reste du temps, ça sert quand même un peu.
Bin quoi, tu restes silencieuse ? Je te rappelle que je parlais de ton corps, du goût, de la douceur de ton sexe (et si ça te choque, relis ça en pensant que j’écris au XVIIe siècle, ce sera plus sympa : le goût et la douceur de ton sexe, c’est-à-dire les caractéristiques propres au genre féminin, quoi… ah non, ce n’est pas mieux, ça voudrait dire que je parle encore de toutes les femmes.)
Est-ce que tu sais que j’adore ton corps, ton odeur, le goût de ton… zut, faut que je trouve un autre mot, comment tu l’appelais quand tu étais petite (question tout droit issue des « Monologues du vagin »?).(l’odeur de ton vagin…c’est limite, à écrire. Mais bon, c’est fait.)
Je crois que je ne l’appelais pas. Il me suffisait d’y penser. Je n’aime pas toujours mettre des mots sur les choses, je préfère les sentir.
Trouillarde. Tu crois que ça m’est plus facile, de penser « mon pénis », « ma bitte », « ma queue » ? Tous ces mots me semblent sales (« Bitte » avec deux t, contre l’usage. Mais j’aime bien la métaphore, on en sort grandi).
Pas facile, d’aimer son corps, quand tous les mots qui viennent sont salis.
Tiens, ton cou. Je peux dire facilement « j’aime respirer ton cou, lécher ton cou, me presser contre ton cou, avaler ton cou »… Mais tu t’imagines si je remplaçais ces mots par « anus » ou « vagin » ? Ça nous semblerait horrible à tous les deux. Comme de dire, j’ai (souvent, pas toujours, il faut bien faire les courses et le ménage de temps à autres, ce ne serait pas facile) (et tu ne crois pas que je fais une parenthèse pour éviter d’écrire la fin de cette phrase ?) envie de mon pénis dans ton vagin ? J’ai envie de tes lèvres dessus (ça m’évite de le réécrire, malin le type), j’ai envie de tes mains, j’ai envie que tu le regardes comme… comme quoi, d’ailleurs ? J’hésite. Dis-moi, toi, comment tu vois mon sexe.
Tu me troubles. Je le vois comme toi. Une partie de toi. Qui me trouble et que j’attends.
C’est déjà un bon début, si tu l’attends… Evidemment, j’ai peur que tu te fasses sauter dessus par les féministes (et pas qu’elles) quand tu écris ça, mais c’est sans importance. Je sais que tu es solide, qu’on peut te sauter dessus (je le sais, je l’ai fait). Continue (ou si tu ne continues pas, je vais te poser plein de questions).
Attends, je m’installe. Sur tes genoux, parce qu’on est proches et qu’on peut. Tant pis pour les féministes. T’ai-je parlé de tes mains ?
Habile façon de changer de sujet… Mais qu’est-ce qu’elles ont, mes mains ?
Chaque fois que je les regarde, j’ai envie qu’elles soient sur moi.
Comme maintenant ?
Oui, mais lâche un peu ce clavier.
Comme maintenant.
G 2 mains…
Et j’ai besoin des deux.
Même quand mon doigt caresse ton clitoris ?
L’attente, je te dis.
Quand mon doigt entre dans ton sexe ? O fait, pas juste, tu as 2 mains, toi…
ça dépend, plus maintenant ;
diofficile de tttaper, hein ?
ce n’est même plus une question de mains.
C’est vrai, même si on risque de casser la chaise… Remets mon sexe dans ton sexe. Et … merci d’avoir enlevé nos vêmtements. Ils nous gênaient. Parle-moi maintenant. Dis-moi ce que tu sens. Dis-moi que tu aimes mon sexe, le tien, et ce que nous en faisons.
C’est exactement ce à quoi je pensais : ce que nous en faisons. Je 3ES
Mon amour nous faisons des fautes de frappe. Attends, je vais te laisser taper un moment, je vais te faire ce que tu es en train de me faire. Je t’aime.
Je n’avais jamais fait ça avant. Les faiutes de frappe, à ce point. Et ça, aussi, tout ça, toiut ce que je fais avec toi, tout ce que tu me fais faire, tout ce que je te fais. Et c’est parce que, mon amour, mon amour, n’arrête pas. De m’aimer. Avec tes mains et tout le reste, même ce qui ne paraît pas vulgaire.
Parle-moi de ce tu sens maintenant ?
Ta peau, tes mains, ton sexe. J’ai envie
Ah. Problème technique.Avec le clavier Il s’affole, il tape à l’envers.
Je ne veux plus du clavier. Il m’empêche de. Et c’est à cause de lui qu’on arrête. Je veux continuer. Reviens. Et puis non, attends. C’est bon de faire durer. Intermède. Pas trop longtemps, quand même.
J’ai froid.
Musique.
Pas la peine de tirer les rideaux, à cette heure le métro ne passe plus. Allez, reviens. Le clavier se refroidit quand c’est moi qui le frappe.
Ah mais non attends. C’est rapport à un truc que j’ai dit dans un truc que je n’ai pas encore écrit (mais je vais le faire, et par le biais de la rétrochronologie ce sera super clair pour tout le monde, cette histoire de rideaux, pour cacher aux gens ce qu’ils préfèrent ne pas voir. Comme un avertissement au début, quoi. Personne n’est obligé de voir ça. C’est privé).
Je ne comprends rien. C’est parce que je suis passée à un autre stade de la réflexion, qui exclut le cerveau ?
Exactement. Bienvenue au niveau suivant. Tu fais l'amour sans réfléchir.
Tu écris déjà tellement bien quand tu réfléchis, ce sera encore plus beau. A toi. (et même si l’excitation est un peu retombée quand on a pensé que ceci pouvait être lu, on va continuer quand même. C’est toi qui l’as dit.
Je ne vois pas ce qui est retombé.
Mon sexe, un peu. Mais je vais arranger ça. Admire la technique…
Tu fais super bien les italiques, c’est vrai, mon amour. Tu veux m’entendre ? Je n’ainplus de mots, juste des lettres. Des onomatopées, à la limite.
Ecris-moi que tu m’aimes, si tu veux, pendant que nous faisons l’amour dans le salon (au début, j'avais écris "ton anus", mais c'était un peu cash, on avait dit érotique, pas porno...) ?
Je t’aime, je t’aime. Et ce que tu me fais.
Bouge encore. Continue d’être si fort. Utilise tes deux mains pour me tenir. Retiens-moi. Retiens-toi. Continue. Et ta bouche, aussi, ne l’oublie pas. Je l’aime, je la veux aussi.
Comme tu veux. Je taisse écrire, ma bouche va s’occuper de toi. Changeons un peu de position… Je vais sous le bureau.
Attends, pas tout de suite. Tu peux mettre ta bouche sur ma peau. Tu parlais de mon cou. J’aime quand elle est là, c’est très excitant pour moi, tu n’as même pas idée…
J’ai idée, tu sais. Comme quand tu le fais.
Mais j’ai soif. De toi. J’y vais. Laisse-moi faire.
Je te laisse. J’aurais envie d’avoir mes deux mains pour serrer ta tête contre moi,là où elle est en ce moment. Mais il y a la tyrannie du clavier. Lâche-nous un peu, toi. J’ai autre chose en tête. Pas en tête, en fait. Enfin, on se comprend. Se concentrer sur le plaisir qui vient. Au bout de tes doigts, de ta langue, mon amour.
… c’était une façon comme une autre, de le conclure, ce post. Ou cette pièce de théâtre. Ou ce début de roman. Ou cette nouvelle érotique.
Tu vois, mon amour ? Ce sont juste quelques mots. Qu’on a écrit ensemble, comme ça, pour s’amuser. Les mains dans les poches. Hop, ni vu ni connu. Parfaitement habillés l’un l’autre, à une rigoureuse distance réglementaire de 1,50 mgr ce à nos deux claviers montés en réseau. Comment ils sont forts, ces écrivains…
Attends, y’a encore pire, mon amour.
Tu te rends compte que je l’ai sans doute écrit tout seul ? Un soir que tu n’étais pas là, ou pendant que tu dormais ? Un jour où je me demandais comment les hommes et les femmes pouvaient parler de sexe, comment ça arrivait dans un dialogue ? Si ça ne pouvait pas faire une jolie pièce de théâtre, avec deux comédiens qui ne se regardent pas, habillés tout en blanc comme dans Beckett ?
Et après, comme souvent, mon amour, je te dirais :
- Tu veux lire ce que j’ai écrit ?
Et tu me répondrais :
- Ouaip. C’est pas crado, dude. Un peu tendre, sur la fin. T’as des clichés partout, mais t’écris pas trop mal, gamin…
Pourquoi tu parles comme un cow-boy maintenant ? Ah, si je sais. C’est parce que ça prouve que c’est moi qui te fais parler. Que j’imagine, quoi. En conséquence, tu n’as rien à voir avec ce qui précède. N’y vois pas le fantasme de l’homme, mais plutôt le délire de l’artiste, mon amour.
Et voilà. On s’en tirerait bien propres.
De la fiction, en quelque sorte. Tu t’imagines bien que ni toi ni moi ne nous livrerions à de telles pratiques devant un clavier.
Non mais tu t’imagines ? Jouir en écrivant ? C’est pas comme ça qu’on finit académicien, à voir leurs têtes (si, si leur-s tête-s, plusieurs têtes ils ont, des maîtres Jedi ils sont).
Donc, bon, c’est dit, on se le relit. Et éventuellement je mets ça sur mon blog pour montrer à quel point je suis bon scénariste (au moins pour les films pornos, mais faut bien commencer quelque part. D’ailleurs j’ai une soirée « lectures érotiques » dans quelque temps, ça pourra toujours me servir.).
Allez zou, au boulot les relecteurs pros.
Je t’aime, Princesse.
Une dernière question : est-ce que j’ai envie qu’on lise ça ?
Bien entendu. Je suis écrivain. C’est mon boulot. Peut-être que c’est choquant, pour certains. Je leur en demande pardon (faut dire, je les avais prévenus). Je crois qu’il faut dire des choses aussi simples que « je t’aime ». Et, finalement, c’est tout ce que je dis ici. Avec des détails, d'accord, mais au fond il n'y a rien d'autre.
14 commentaires:
bravoSS ! à vous deux ! Marie-Cé a aimé vu qu'elle cherche des textes érotiques à TE faire lire Manu à voix haute devant un public qui aura la langue tombante digne du loup de Tex Avery... mais oseras-tu ?
Macha a ''jugé'' que ce que tu as écrit n'est pas [qu']un texte érotique. c'est une déclaration d'amour. d'Amour. à ta princesse. mutuelle. complice. vous êtes des auteurs échangistes qui nous faites partager votre intimité. bien sûr que ça choquera et que ça ne plaira pas à tout le monde. bien sûr que tous vous jalouseront d'être aussi à l'aise avec vos corps vos mains vos bouches vos langues que vos claviers et vos mots. bien sûr...
continuez ! à vous aimer ! à nous écrire ! à partager.
j'adore !
quel culot !
je jalouse cette facilité que j'ai rarement eu : parler de moi dans mes textes érotiques. jouer le jeu du je... chapeau bas les Emmanu !
Manu et Manue mis à nus, en voilà du scoop !
je vous M.
Très joli, le retournement de la fin du billet. C'est vrai qu'il est temps, je crois, d'inventer le texte érotique. Le VRAI texte érotique, celui qui ne parle ni de pénétration, ni de regards enfiévrés, mais des deux à la fois. Existe-t-il un seul texte réellement érotique, à savoir troublant, touchant ?
(C'est un spécialiste qui vous parle, j'ai écrit plusieurs centaines de textes, fausses confessions pour la plupart, pour minitel et audiotel, environ 2 millions de signes je crois.)
Ce qui manque dans les récits érotiques, c'est L'ENJEU. L'immense majorité fait faux, les mots n'ont pas de portée. Le jour où l'on écrira les récits érotiques comme des récits policiers : avec un enjeu, une tension, un suspense, des personnages crédibles et qui vivent un moment intense - voir vital - de leur existence, on aura franchi le premier palier de la littérature érotique moderne...
J'ai d'ailleurs repéré un blog qui semble aller dans cette voie... Il ne fait que débuter (3 billets en ligne), mais il est prometteur. Je donnerai l'adresse aux demandeurs s'il est aussi bien dans les prochains jours.
OK, on va essayer de franchir le palier...
Chiche.
... zut, on a été coupés (j'ai dû passer sous un tunnel), j'allais dire : peut-être que ces romans existent déjà, d'ailleurs. "Les autres", de Sophie Cadalen, pourrait en être un exemple. Je me suis même laissé dire qu'elle en avait d'autres en préparation, tu ne serais pas intéressé ?
je ne connais pas ce roman, je vais me renseigner. Intéressé pour quoi ? Publier les suivants (j'avais écrit "les autres", mais après un roman qui s'appelle "les autres" lui-même, ça ne voulait rien dire) ? Je ne sais pas si ce serait lui rendre service...
J'avais oublié aussi "la chapelle sextine", de H. Le Tellier et X. Gorce aux éditions Estuaire. Très beau, avec des illustrations et tout. Un cadeau qu'on m'a fait il y a longtemps, et que je redécouvre aujourd'hui. Merci Yann (et pis si tu veux tu peux utiliser mon mail, même si c'est sympa de faire gonfler les stats des commentaires).
Tu as AUSSI un mail ? En plus du blog, je veux dire ??
même qu'il est marqué dessus, tiens...
Ah oui ? Ai cherché, ai pas trouvé. Je suis miro ou quoi ??
Alut, c'est la famjo!
Tu vas nous coller du gobetis partout sur le pc mon Manu?
Moi qui adore l'érotisme je t'en raconte une légère:
Quelle différence entre une femme et un frigo?
Une idée peut être?
Quand tu sors la viande du frigo, il ne pète pas lui!!!
Délicat non?
Bon manu ta raté un bon film dimanche bises le fomage
how delicate...
yann, mille pardons, c'est pas écrit :
manu.causse@free.fr
et voila tu postes à trois heures du mat, du cul en plus...et tu herites de 12 commentaires....bon dont la moitié de toi;)
tres beau texte mais je n'ai pas de facilitie pour m'exprimer mieux...
delf
et en plus je fais des fautes fantastiques!!
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