25.2.09

617 - à auteur d'enfants


Nan, pour le compte des posts, je sais pas, c'est compliqué, mais.

Sinon, un compte-rendu des journées précédentes (un exercice auquel je me soumets de moins en moins souvent, faudrait pas que je me laisse aller...) : reprendre le vélo, écrire une nouvelle nouvelle pour le prix Hemingway avec du rock espagnol à fond les balones dans les orejas, finir l'adaptation de la nouvelle La Fête à Fred pour mon comédien préféré, passer coups de téléphone éditoriaux qui donnent mille fois plus envie d'être écrivant qu'écrivain, répondre à des offres d'emploi (si, si, ça existe, la crise serait donc finie ?), finir quelques séries de tableaux, échanger des mails sur le couple et ses passions avec une charmante inconnue, (glander sur facebook aussi, faut pas déconner) assister à une fin de répétition au climat plutôt orageux pour Désolés pour le Chien (à voir au printemps du rire, mars-avril, Toulouse), parler avec Yrf et Véro de Max Gallo des chantiers de Régis Feugères (pas de lien, Rég ?) du concept de l'affect du métier d'essayeur de sex toys des adolescents et des cacahuètes thaïlandaises... Et puis, après une nuit abandonnique, se mettre à hauteur d'enfants pour profiter du mercredi.

Ouais. Dis comme ça, c'est loin d'être intéressant. Je comprends pourquoi j'ai laissé tomber l'exercice.


Bon, bin je vais nettoyer les chiottes, ça me changera.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Bon, je voudrais pas abuser de préséance. J'ai bien attendu un peu, mais me voilà encore en tête de ces commentaires, ssissi ça me gène. En même temps, je voudrais pas que tu te lamines, ça m'intéresse la vie des autres, le pauvre quotidien, celui qui nous tient debout tout compte fait, ben ouais, c'est facile pour ceux pour qui c'est facile de trier entre l'ordinaire et le miraculeux et puis nettoyer les chiottes c'est aussi important que de nettoyer les écuries d'Augias, sauf que dans le premier cas c'est l'anonymat total, l'obscurité profonde, dans le deuxième Hercule et tout le toutim, en général les mecs préfèrent laisser la chose première à leur blonde et prendre le second quart. T'es un héros de l'inversion.
Rien que pour ça, je t'embrasse.

Dahu l'Arthropode a dit…

Je me rappelle être venu salir tes chiottes, et je n'en ai rien fait, littérairement parlant. Il m'apparaît maintenant que la littérature tient de l'art de recycler. Et chacun sait que pour le recyclage, la merde est ce qu'on valorise le mieux.

Manu Causse a dit…

Je ne suis pas un héros (mais je rosis sous le compliment), je n'ai finalement nettoyé que dans les regroupements, hier au soir...

Anonyme a dit…

Au moins trois points communs dans le tas : être à hauteur d'enfant, contacter les éditeurs et achever une nouvelle nouvelle pour le Prix Hemingway.
On pourrait donc se croiser prochainement, si ça se trouve...