29.9.08

Une réaction...

Je me demandais comment faire de la pub pour mon nouveau recueil sans que ça paraisse forcé, ou de copinage, ou de l'auto-promo...

Et puis je me suis dit, peste !

(je me dis, des fois, comme ça)

Et si je balançais tout simplement ce que les gens me renvoient ? Forcément, ce sera du copinage, mais après tout, au moins, ce sera clair.

Bon, les gens, en priorité, c'est mon cercle de fidèles lecteurs... dont Petite Grande Soeur, d'abord, qui fut la vraie première lectrice du Petit Guide, et m'a aidé aussi sur Roméo...

C'est une scientifique, elle parle en mac ou linux, mais voilà ce qu'elle me disait hier (traduisez vous-même...) :

Alors bon ça devient limite courant, mais hier j'ai tout lu tes nouvelles d'un coup, et je les ai trouvées vraiment bien (mais alors vraiment vraiment).
Pas eu envie de lacher le livre, et bien que j'aie dû me résoudre à le faire pour m'occuper un peu de mon fils, pour me rattraper j'ai cuisiné en lisant. Je suis restée dans le bouquin après sa lecture, et ça c'est signe d'un style qui chie la classe (sisisi on a le droit de le dire). Et puis plein de tons différents, pas juste du manu-causse-est-amoureux. J'ai même oublié que c'était mon frère l'écrivain (sauf pour être fière de toi).
Une bonne définition du purgatoire. Peut-être que celle que j'ai préféré c'est Autobahn guru, elle me rappelle les moments où j'ai envie d'etre un buron. J'y connais rien mais j'ai trouvé ça bien comme du Dino Buzzati (oui en plus je sais meme pas comment il s'épele celui-là )
Bon bref, c'est officiel, (1) je sais pas m'exprimer et (2) j'adoore c'que vous faites.
Tu es un écrivain, un vrai auteur, mon frère (Si jamais tu doutes tu m'appelles et je t'engueulerai pour te prouver le contraire).
Un grand merci de la part d'une lectrice de la région toulousaine
et des bisoux à vous tous

Wouaw. Comment ça m'a fait plaisir...

Du coup, pour fêter ça (et aussi pour bosser un peu notre prochaine pièce), j'ai emmené Miss Ecrivaine-qui-partage-ma-courette se faire bronzer la fesse pour l'après-midi du côté de Narbonne... et c'était bien, aussi, de parler de nos égos qui s'agitent quand nous écrivons de conserve.

En plus, il faisait beau, et on s'aime, alors tu imagines comment c'était une belle putain de journée.

Et sinon, vous, ça lit ?

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