J'ai entendu des hommes mettre des voix sur mes mots,
des enfants me parler comme si j'étais leur frère,
un frère me parler comme si nous n'étions plus des enfants ;
puis j'ai senti un père me prendre dans ses bras,
et des femmes avoir envie des miens /
d'autres soulevaient de leurs corps des mots et des musiques.
Puis vint l'heure de la ligne sinueuse,
basse qui promenait ses rythmes dans mes doigts,
et l'inspiration d'une simple guitare
allongée sous la voix douce et grave à la fois.
Et ouala. Et le ouikend est fini. Pour la petite histoire, première représentation de Tonton Maurice vendredi, gardage de nains princiers samedi matin, repas des familles, virée rugby+bistro entre potes avec Gros Chien, bla-blatages en tout genre, pièce de théâtre dans l'appart-atelier d'Yrf et Véro, (ici, dodo) concert de la Teigne et retour au théâtre pour entendre, parmi d'autres textes, un extrait d'Emmanuelle Urien et une de mes nouvelles lue par un comédien que j'apprécie beaucoup (même qu'il est aussi metteur en scène, de Tonton Maurice en particulier, et que je l'accompagnais à la guitare). Rentré à la maison, un peu de taf pour ne pas perdre la main, le tour des blogs et...
Et là, devant l'écran, un verre de vin, une cigarette, rien à dire ou à écrire à part :
à la vôtre...
tchin.
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