29.1.08

Le sport rend-il con ?

Willow weep

As the river passes,

The fishes love stones
The willow weep dies
And so does your need.

(Ann-Emily Thornton-Burnett, 1842)

Aucune raison particulière de citer ce poème, sauf qu'on sort tout juste, Sweet Her and I, d'une séance de sport (avec des barres et de la musique 90 à donf), et que je n'ai rien, mais rien d'intéressant à dire. D'où la question : est-ce donc de me triturer les quadrifessiers qui m'a ôté toute inspiration ? Ayé, j'ai une bouffée d'angoisse.

Sinon, vous, ça tou-tou-you-tou ?


6 commentaires:

Anonyme a dit…

Je crois que tu as oublié un "tou".
C'est tou-tou-tou-you-tou.

Oh!91 a dit…

non-non, non-non, c'est bien tou-tou-you-tou, il y manque rien, enfin, je vois pas, toujours !
Ca rendait comment, déjà, tu disais, le sport ?

M. Leclerc a dit…

Ah pardon ! C'est tou-tou-you-tou, tou-tou-you-tou !

Car c'est l'itération qui fait le sel de cet hymne corporel !

Manu Causse a dit…

après vérification, c'est :
tou
tou tou you tou
tou
tou tou you tou
tou tou tou (tou ?)
tou tou you tou

Anonyme a dit…

Et pendant qu'y en a qui font les cons, d'autres transpirent ...

Anonyme a dit…

Le cort rend spon!
J'ai pas trouver mieux ;et sinon vous............
Super copiage de Manu.

J'vous colle du schtrungle partout!!!!