Non, franchement, ça fait beaucoup. Même pas eu le temps de bloguer.
Réveil aux aurores (10h30) et les bras de Princesse qui ont un goût de rester au lit - mais le devoir m'appelle ; bricoler des sommaires et notes d'intention pour Sangoka-l'éditrice ; accompagner Anton à l'escrime de l'école - mais le bus n'était pas là, tant pis ; écrire avec Princesse, de bar en médiathèque Jojo Canabis. Pour ne pas avoir l'impression de trop travailler, je varie : et hop, un petit synopsis pour un futur bilingue ; et hop, un petit travail de doc pour Le béton dans tous ses états ; et hop, un autre pour Confessions d'un fumeur de Cannabols ; une petite lettre de refus (non, Princesse et moi n'irons pas écrire une pièce en résidence d'auteurs à Montréal - c'était donc ça, tous ces orignaux qui passaient sur ce blog) et un petit coup de fil pour de la thune ("Allô, bonjour, ça vous dit un acompte ?" Bin... j'ai bien envie de dire non, mais ce serait vraiment pour me la péter, hein.)
Hier soir, repas "l'incroyable histoire de notre rencontre" chez des amis - et faut dire qu'elle est assez extraordinaire, leur histoire... le nez de Princesse remuait de curiosité et d'envie d'écrire.
Voilà. J'ai fait mes dix minutes, sans beaucoup d'inspiration mais avec pas mal de détails à raconter. Hop, je finis le post, on finit les devoirs, repas Luigi et retour au taf. Pas de place pour la bagatelle ou la poésie.
Tes joues rouges de parler
De sentir d'être toi
Et ton profil de reine qui
Vibrait de mots étranges
Toi,
Et je retrouvais les signes
De ta beauté altière et fragile
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