16.12.07

En plein coeur de l'action artistique

Bon, alors, voyons... Tiens, déjà, je vais écrire violet, ça va nous changer un peu. Et de police ? PAs celle-là... pas celle-là non plus... et celle-là ? Ouais, peut-être...


Donc, il faudrait que je vous raconte ce fabuleux ouikend, où, après avoir terrassé quelques monstrueux rugbymen en compagnie des Gonins, bien joué, mangé, bien ri, bien bu,


j'ai fréquenté la fine fleur du noir,

avec, par ordre d'arrivée à l'écran: Emmanuelle Urien, Frédérique Martin, Hélène Duffau, les filles du noir (Patricia Parry, Solenn Colléter, Magali Duru, qui font une bise à Fabienne Ferrère), maître Claude Mesplède dont nous fêtions le somptueux Dictionnaire des Littératures Policières, le grand Pascal Dessaint (rejoint plus tard par son sympathique complice Mouloud Akkouche, un type qui assume son nom suspect pour mieux enchaîner les polars), etc., etc.

Bon, en fait, tout est présenté ici.

On a :
- joué un brin (LoFi en acoustique, plutôt sympa),
- écouté d'autres groupes et chanteurs (dont les Modest Lovers, dont je vous reparlerai),
- été transportés par les talents de conteur de Daniel Pennac,

et puis bien mangé bien bu bien ri, entre collègues puis entre potes ; aujourd'hui, nous étions en repas de famille avec La Teigne
*,

et, comme de juste, nous avons bien mangé, bien ri, bien bu (et bien joué).

(rappel : La Teigne = le groupe dont je tiens la basse (même qu'ils me laissent en jouer, des fois), et qui répète en public aujourd'hui lundi à La Chapelle (rue casanova, vers Honoré Serres et l'ancien palais des sports), avant la sortie du CD "Toutes Griffes Dehors". Ca me ferait plaisir de vous y voir. Au fait, c'est à Toulouse, bien sûr (où ailleurs ?)
Le genre ? Heu... Comme ça, je dirais "petite-musique-rock-français-fleurant bon l'anarcho-syndicalisme, la contestation et la joie de vivre", avec des chanteuRses de talent et des musiciens qui savent braver tous les dangers de la houle pour faire chalouper les gens...)


Bref, un bon ouikend... J'aimerais vous en raconter plus, mais impossible : je suis au taf sur les cadeaux de Noël.

Et vous ne perdez rien pour attendre.

Surtout le banquier. Demain matin, à la première heure, il se le fait (la première heure, c'est quand? Pas trop tôt, quand même...)

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