Ok, on n'a pas posté hier, parce qu'on était avec Anton et Zadig dans l'Aveyron, le terrain de chasse de leurs ancêtres ; et aujourd'hui, on n'est guère plus vaillants. Il faut dire que la montagne de projets qui nous attend est quelque peu impressionnante. Mais comme le dit le proverbe wolof, "Dakari njook o'ooki fen gari ok N'djamena" (le chemin de Dakar à N'djamena commence par un pas).
A propos de villes d'Afrique, voilà trois jours que je me prends pour un griot (griots qu'on inhume, la saviez-vous, dans les baobabs car leur corps est impur pour la terre mère) et que je chante à tue-tête des airs pseudo-africains... comme celui-là, tiens, qui colle bien dans la tête. Et qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à N'gicolas N'sarkosy, qui doit bien souffrir, le pauvre, à s'agiter partout pour oublier ses n'chagrins n'd'amour.
Pour l'épopée des Gonins, promis, je commence demain.
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