12.3.08

pursuit of the light

Quelques jours que je suis sans parler, entre fatigue des mots qui s'enchaînent et rêves de jours moins gris. Le silence est peut-être une solution passagère (et d'autres parties de moi s'animent pourtant, enfants, musique... à mon avis, c'est juste un truc qui va passer).

Ayé, Caliméro, t'as remis ta coquille ?


Let's go for the concert.

1 commentaire:

Oh!91 a dit…

Cette fois, je sais pas pourquoi, je te comprends... même si ça fait du vide, le silence, et que c'est pas toujours confortable le silence. C'est peut-être là-dessus qu'il faut que je travaille, m'accommoder mieux du silence. Tu sais faire, toi ? Je t'embrasse, et j'anime tes mots quand même malgré toi chez moi bientôt, sans doute demain. Bon week-end.