17.3.08

A yin message to les femmes de ma vie

Dear Wies Broens,


You know I hope that I still love you wherever you are and whatever the mood you feel in right now ; that I still wait for you, because a promise I made you a long time ago, and of which you forgot to free me of.
However, you still are in my heart, you helped me much, and you're a great person.
You definetely deserve to have a beautiful life.

Yours,

Manu





Dear L., mon amie que j'aime,
Félicitations pour ton enfant et ton joli bonheur.

Désolé de ne plus en faire partie,

Manu


Dear Marylin-la-voisine,
Je t'aime, tout simplement. C'était une soirée délicieuse.
I believe in you.



V., ma toute belle,
Si tu passes lire ces mots, sache que tu es toujours aussi belle quand je te croise dans la rue ; que j'ai beaucoup aimé les moments où nous étions proches, et que je serai heureux de le redevenir (à une distance respectueuse de la morale, bien sûr. Enfin, de la nôtre).



S/C (and their beloved man)
Love you, sisters. Sorry I'm so thick at times. Been hurt, too. Got so much better. One day we'll talk about it.


Maman (bin bien sûr t'es là dans les femmes de ma vie, faut pas croire, ceci dit lire dans les affaires de son fils, ce serait-y pas un peu mère juive, ça ?)
Comment on dit "merci" en occitan ? (et si tu le sais en poitevin, glisse-le aussi)



Cathy,

toi tu ne liras pas puisque tu me détestes,
et j'en suis désolé car vivre avec toi si longtemps a été aussi un plaisir, le plaisir immense de se construire à deux.
Je crois toujours que ce que j'ai cassé, je l'ai cassé pour nous deux. Parce que cela nous faisait mal.
Je l'ai fait pour moi, pour être heureux, et pour toi, parce que tu avais l'air malheureuse.
(Chaque fois que je te vois heureuse, je suis heureux aussi ; alors ça me rendait malheureux de te voir malheureuse, et comme c'était réciproque, bin, on a fini tout malheureux, le truc bête. Tu connais Bazbaz, Infinie solitude ? Bin, c'est un peu ça)

Alors j'aimerais que tu sois heureuse. Tu le mérites. Et nos enfants sont beaux.





Dear Fées,
Je vous aime toutes, inconditionnellement.



Dear lectrice inconnue,

Ce matin (ou ce soir), que ton chemin soit semé de pétales de roses, d'odeurs de jasmin et de fleurs de pommiers.





Dear Emmanuelle,
You're so great.
Je t'aime.




Dear Déesse-Mère,
mes prières du soir.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci jeune homme !
Je respire déjà ces délicats parfums.

Anonyme a dit…

Très agréable ce mélange français-anglais qui protège ta pudeur. J’aime les hommes qui aiment les femmes. Et je ne comprends toujours pas qu’on puisse détester quelqu’un qu’on a aimé, comme Cathy. Je prends tes pétales de jasmin mais j’en fais un oreiller pour Yema, pour qu’elle repose enfin en paix, délivrée des souffrances. C’est pas gai, je sais, mais ton billet ne l’est pas forcément non plus. Beau, ça, oui. Merci.