Déjà mardi, et pas de post ?
Pourtant, faudrait que je vous parle de ce ouikend à Fréjus ; de la villa Aurélienne, où nous fûmes princièrement logés, et où le parc antique me prêta ses couleurs pour une série de dessins, cependant que Princesse présidait un concours de nouvelle ; de Marc, de la librairie Charlemagne, des responsables de la médiathèque au dynamisme d'airain (j'aime bien dire d'airain, même si je ne vois pas très bien ce que c'est, comme matière) ; de Marie-Françoise et de sa voiture à malices, qui s'occupa de nous et de nos sacs avec une immense gentillesse...
A moins que je parle des restaurants, ou de cette longue matinée passée sur la plage à écrire côte à côté sans trop savoir où cela nous menait ? Ou des romans que j'ai lus - Alain Turgeon, excellent, Pascal Dessaint, bluffant de maîtrise, et puis un ou deux autres achetés pour l'occasion...
Bref, faudrait, faudrait, faudrait.
Mais mon dictaphone est tout engorgé des notes que j'ai prises pour le bouquin sur la diététique, et il serait temps que je transcrive tout ça, car la deadline approche. Bref, faudrait que je poste, mais là, je n'ai pas le temps.
Et, de toute façon, vous êtes probablement en vacances.
2 commentaires:
"Et, de toute façon, vous êtes probablement en vacances." Ou on aimerait bien, je te jure !
L'airain, c'est comme le bronze mais en pas rouillé, pas verdâtre parce que c'est le beau mot pour en parler...
Le dynamisme d'airain s'écrit parfois aussi des reins, surtout si on y met un string (aux reins).
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