Voilà. C’est parti.
C’est décidé, je vais voler de mes propres ailes, vivre de ma plume, m’envoler (Comment ça il est lourd mon champ lexical ?) vers les sommets. Je suis prêt, je m’élance.
La structure du site est venue dans la nuit ; s’en est suivie d’une discussion avec une copine bancothérapeute, la Fée du Bien (dessinée ici, aucune chance de la reconnaître), qui m’a permis de me détendre en profondeur sur les histoires d’entreprise, de découvert, d’emprunts (Oué, faut pas rêver non plus, dans la rubrique Retour sur terre on verra que c’est pas ça qui va décrisper mon Putain de Bon Sens d’Aveyronnais)
Bref, le brouzouf, c’est dans la poche.
Puis je me suis enfui faire ce que je préfère : manger avec une copine en se racontant plein de trucs passionnants. Je me suis bien tenu : je n’ai noté qu’une ou deux idées de posts.
On m’a proposé deux nouveaux jobs : faire une suite à Roméo@Juliette (Environ 300 ex vendus en un mois et demi, pas trop mal, non ? Et pas une suite, bien sûr, juste un autre ouvrage dans la série.) et devenir mécanicien auto.
Quand je suis rentré de chez moi, j’ai trouvé au courrier un courrier de l’assurance auto , un chèque de droits d’auteur, des impôts, un journal de théâtre… bref, un vrai courrier d’écrivain, tiens.
Dans mes mails, que des choses qui rendent heureux : une pièce de théâtre à relire pour une copine (Copine, ça veut dire que tu le fais à l’œil ? signé : ton putain de bon sens d’aveyronnais), un mot de soeu-sœur… bref, moi je vous le dis : que du bonheur.
Bon, je dors un peu, je vais faire le match de ma vie et je reviens.
De toute façon, si vous vous ennuyez, vous n’avez qu’à écouter Dobacaracol ou lire le blog de Fenouilh.
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