It must be the sky (photo) |
Maintenant que l'interface de fréquentation de ce blog a des stats, je m'inquiète quand elles baissent.
Quand elles grimpent, je m'inquiète du moment où elles vont baisser.
2) Au-delà
Invité par L., hier, j'ai vu le dernier film de Clinte Eastmood.
Je n'avais pas autant ri au cinéma depuis Million Dollar Baby.
La dernière fois, c'était la langue tranchée et avalée ; là, c'est un coup de violon monstrueux dans la minute ultraromance du film qui m'a fait partir en vrille.
Rire tout haut, c'est comme pleurer tout fort : doux au coeur et aux épaules.
3) Speaker of the dead
Bon, bin Clint, ce serait comme un grand-père qui nous a raconté plein, plein d'histoires ; plus le temps file, plus on a envie de lui dire, "mais on la connaît, celle-là, Papy ; on a compris ce que tu voulais dire, avance, merde..."
Mais on l'aime bien quand même, alors on écoute avec un plaisir un peu agacé. Et puis c'est marrant de voir Paris et les acteurs français vus, et éclairés, par un américain.
De toute façon, mon grand-père ne m'a jamais raconté d'histoire. C'est un peu pour ça que j'écris en ce moment.
4) L'autopromo et la pirouette tout en un
Ce soir, 20h, Petit London, Radio Mon Païs (90.1) ou internet, Pas plus haut que le bord et la chronique droitomusicale d'Aymeric de la Mouille et Lola Parabellum.
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