19.6.08

Sir yes sir

Le tout petit espace entre
mon coeur et ma gorge
le rythme et ma voix

(obstrué par des peines imbéciles)

attendre calmement que le chemin s'ouvre


Oué... un genre de poésie pour commencer un nouveau post, le précédent étant resté très longtemps à l'affiche, pourquoi pas ?
Alors dans l'ordre : quoi de neuf ?
- un séjour lotois dans la maison où se terre le chafouin Cédric Gomez : pluies, chemins, rires, piscine - et c'est un très bel endroit ;
- un Maurice qui, selon les acteurs, n'a jamais été aussi célèbre que depuis qu'il est mort : attention, plus que deux semaines pour assister à son agonie !
- des ?? et des !!, voire des erkjlnouefggrtfrtfg pour les bouquins de genre, redevenus (pour l'instant) "Comment ne pas" : des ratés, des contretemps, des zaquoibon... si ça continue, je rentre dans les ordres (ou encore pire je redeviens prof) ;
- les Gonins, pour leur dernier match de la saison, firent leurs adversaires le coup de l'équipe Gillette : la première lame soulève le poil (et fatigue l'adversaire), la deuxième met une ribambelle d'essais avant de se rétracter sous l'apéro. J'étais de la deuxième vague, et si vous trouvez dans les abords immédiats du stade Claude Gonin un petit bout de métatarse, gardez-le au frais : ça doit être à moi, vu que ce matin je boîte des deux pieds.

Pour le reste - bonheur inconditionnel, sérénité, confiance : le travail continue ; je ne sais pas bien pour qui ni pour quoi, mais c'est devenu une habitude...

Sinon, vous, ça fête le soleil ?

1 commentaire:

Oh!91 a dit…

Ouais, pour nous, ça fête le soleil et le reste. Ravi de te voir (de te lire) de retour. Et heureux...