17.2.10

833 - Gris matin


1) De famille
Quelques potes qui comptaient, hier ; un joli lieu, un joli son ; et nous trois heureux de notre set - malgré les réactions mitigées d'un public tout acquis à la cause de la chanson française (celle avec les accordéons et les textes plein d'humour sur les légumes).
Curieusement, en ce moment, même si j'entends toujours les réactions négatives un poil plus fort que les positives, j'ai envie de continuer et de préciser encore.
Les choses avancent.

2) Salaud, part
Hors des concerts et épisodes bloguesques, je me plonge en ce moment dans mes racines et un vortex familial : enfants, parents, petits-enfants, tribu, clan, amours complexes et reproches tus se mêlent dans la grande tente, là-haut sur la montagne.
Il y des fois où de toute évidence je n'en peux plus de moi-même. Il faut que je m'excuse auprès de mon grand Anton de toute la colère inutile que je déverse sur lui.
Ce qui me rend heureux, c'est qu'au moins je ne fume plus.

3) Once and for all
Ici, dans ces colonnes, est un des endroits où je me sens livre libre vivre. Je vous ai déjà dit que j'étais heureux de vous y trouver ?

4) Et tout de même...
Le recueil Le frère de Pérez, au Diable Vauvert - qui publie les nouvelles sélectionnées au prix Hemingway 2009 - m'arrive ce matin par la poste. Outre que je suis content de voir publiée pour la première fois ma nouvelle à voix haute "Pentecôtavic", je suis ravi et flatté de figurer à côté de chouettes signatures, comme Nicolas Ancion ou Régine Détambel. Je lis tout ça et je vous en reparle.

2 commentaires:

Zoë Lucider a dit…

Non, tu nous dis jamais que tu nous aimes et que t'es content etc. Du coup, on passe en silence. C'est malin

Zoë Lucider a dit…

Oups! Je viens de m'apercevoir que tu me causais sur le post précédent. Mouahahah! Une fois n'est pas roulure, hein!