8.2.10

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1) Les gros mots
Amour, dieu, sexe. C'étaient les trois mots qui me faisaient rougir, me gênaient au-delà du possible quand j'étais enfant. Je n'ai jamais trop su pourquoi.
Aujourd'hui ? Aujourd'hui, je suis tout le temps rouge - mon côté aveyronnais rubicond. Ca m'évite de.

2) N'empêche que
J'ai la nette impression de me redire, avec ce 1).
Pour un écrivain, c'est bon ou pas ?

3) Jamais du mal
Un des - rares - principes de ce blog est de ne jamais dire "du mal". Jamais de critique, jamais de négatif - un côté Lou Ravi.
Petit problème, quand je tombe comme maintenant sur des piles de livres à lire, et que j'ai envie d'en parler : que faire, quand je n'en pense pas que du bien ?
Me taire ? Renier mon principe ? Ou penser à nouveau ?
Et au fait, pourquoi je fais ça, moi ?

4) De sa faute
E(u)x, le roman qu'aucun éditeur ne parvient à aimer, a connu bien des formes : du long du court de l'image du son... Faudrait-il que je laisse tomber ? Que je m'y acharne ? Ou que, comme nous y réfléchissions de conserver avec une lectrice d'un vieux recueil de nouvelles, que j'en fasse une histoire d'amour ?
Pas facile.
Mais j'aime quand c'est difficile, non ?

5) Traduction, bis
En anglais, hooker, c'est - il me semblait bien, le talonneur. Le 2, au rugby.
Et la pute, aussi.
Je dois en déduire quelque chose ?

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