De l'intérieur de ma tête, où je regarde souvent, je ne vois pas grand-chose que des questions moisissantes, des tremblements stupides, des hésitations nocives ; je me demande bien ce qui se passe sous mon chapeau, et sasse que je te ressasse, et tristouille que je m'apitoie... J'ai cette impression bête que ça n'a pas le goût que ça devrait avoir.
Alors quoi faire ? Me taire, comme me le conseille mon PC ? Surproduire de l'artistique, comme j'en ai parfois la frénésie ? Me foutre en l'air d'une façon ou d'une autre ? Dire non à quelque chose ?
Oui, mais à quoi ?
Des fois, je voudrais être rugbyman aussi de mes états d'âme, rentrer en tronche une bonne fois pour toutes et qu'on en parle plus, ou alors juste en riant, pendant une troisième mi-temps digne de ce nom...
Déprimer, ça m'ennuie vite. Mais vieux Bob Pirsig le conseille : go ahead, son. See the bottom of it.
Sinon, vous... oh, oué, c'est bon, je sais.
Oh, et puis. Commenteurs, appuis, famille, amis, Femmequi.
Merci pour
Parce que.
Sing me a song
Give me hug
I know it's not what I need
Sing me song
Give me a hug
It'll help growing the seed
Ou un truc comme ça.
4 commentaires:
Une légende pour la photo: Toujours sur la ligne blanche
Et alors! C'est mardi aujourd'hui ! Il a déjà inventé la déprime Rahoul ? Impossible ! Il aurait jamais tenu dans tous ces siècles des siècles. Plutôt qu'un hug, tu veux une baffe ?
Le mardi ne finit pas avant 23:59...
Des baffes ? Ca dépend qui les donne, pourquoi et comment :-)
Et cela dépend du fuseau horaire, le mardi peut durer 2 jours, tiens, je me donne tout seul envie de relire le Méridien de Greenwich de Jean Echenoz.
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