Il n'est pas que le temps d'être,
Encore celui de feindre de faire croire,
Pas que le temps de croire,
Encore celui de douter
Pas que le temps de douter,
Encore celui d'être certain de l'impossible,
Pas que le temps de désespérer,
Bientôt celui de savoir que tout change, sauf
Le temps.
(Et pendant ce temps-là, je parle d'hélicoptères pour le prix d'un kebab, en attendant le contraire,
Je me demande si mes poissons survivront à l'absence
Grâce à mes amis,)
Je me demande si la poésie nourrit son homme (ahahaha) ou si la Muse lui pompe le sang (prfft),
Et si j'en aurai fini un jour avec ces questions stupides - mais pas que -
Qui ouatent l'entredistance de moi à moi.
2 commentaires:
Il fallait aussi se demander si la poésie nourrit ses poissons.
Cinq blagues moyennes que j'ai renoncé à t'écrire:
* Ah bon? Tu as aussi demandé à des amis de s'occuper des poissons?
* Les poissons doivent non seulement survivre à ton absence, mais aussi à ma présence.
* J'ai trouvé que la poudre que tu m'as donnée donne un drôle de goût aux poissons. Le deuxième était meilleur sans rien.
* J'ai trouvé une technique rapide pour changer l'eau des poissons. Il me faudra toutefois la perfectionner pour garder les poissons.
* J'ai trouvé cinq blagues moyennes relatives à tes poissons, mais elles ne méritent pas de figurer dans ton blog, alors je ne les y publie pas.
Méfiez vous de l'arthropode, c'est un hameçonneur qui ne dit pas que des çonneries mais si sa Cathy le quitte il est prêt au meurtre
Signé : la maman des poissons
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