14.11.08
Dans les villes de grande solitude
Bon, ben faut se faire à l'idée : je vais chausser mes beaux sabots et mon chapeau du dimanche pour monter à la capitale.
Et pas une fois, non ; deux. Demain samedi (inch'Air France), je signerai (inch' baron Bic) mes livres au salon d'Ozoir-la-Ferrière ; puis, le dimanche d'après, je serai sur le stand de Talents Hauts au Salon de Montreuil de 14 à 16 h. Dites, vous viendrez me faire coucou, hein ? Vous pourrez m'entendre faire des phrases comme "Boudiou que c'est grand" ou "Hé bé ces parisiens, ils sont tout le temps à courir..."
Normalement je suis normal, mais in Paris je deviens provincial. J'espère que je n'aurai pas de terre collée sous mes semelles. Et que je ne ferai pas de faute en signant.
Entre-temps, le reste du monde pourra m'entendre en lecture au Salon des éditeurs de Toulouse, dimanche là qui vient, à un moment dans l'aprème, aux côtés de, devinez qui ? Emmanuelle Urien, parfaitement.
Pis sinon, je suis chez moi parce que dehors il fait froid. Et la soirée d'hier m'a laissé la langue en moquette et la tête en grelots.
Pas facile, la vie d'artisss.
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2 commentaires:
solitude, solitude... ! Y'aura bien moyen de pas te laisser tout seul trop longtemps, va ! Moi, je suis plutôt content que tu te fasses ces deux voyages.
Salut c'est le fomage!!
He bien mon manu, tu vas te perdre à la capitale les jours de grèves AF!!!
Y va y avoir du sport.
Bon, moi, je teste les différences de pression osmotique entre l'eau du lagon et celle de la piscine.
Je n'oublie pas d'intégrer tous les paramètres, y compris bien sur la T° de l'eau 29°.
Bises de la famjo, chacal toi même chips double chips contre chips!
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