11.8.12

1014 - Un

Cent titres (enfin, un peu moins)
1. Premier

Oui, parce qu'après tout, si on ne compte pas trois bilingues, et qu'on laisse de côté les nouvelles et  les pièces, il s'agit bien de mon premier roman.

Je ne sais pas si tu t'en souviens, mais il est d'usage pour moi, lorsque je reçois le colis contenant mes exemplaires d'auteur, de me lancer dans une caractéristique "danse de l'édition", qui n'est pas sans rappeler, selon les rares témoins, la parade amoureuse du serpent-iguane (à cause du déhanché) ou du gorille du Dourdou (à cause des origines).

Celle de ce matin a failli me laisser avec l'échine brisée, tant j'y ai mis de. Espérons que je n'aurais pas ainsi anticipé les réactions de la famille (car toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait assez violente) ou des critiques (mais à eux, je ne songe guère, tant ils ont la gentillesse de me laisser tranquille, moi et mes écrits).

Quoi qu'il en soit, tu peux voir ci-dessus une tentative de création d'un effet hypnotique destiné à faire acheter le roman en masse ; ensuite, j'ai mis un exemplaire à infuser auprès de ma liseuse - où se joue en ce moment le dernier John Irving - et d'une pile d'hedomadaires culturalo-télévisuels de gauche chrétienne dont je ne parviens toujours pas à me désabonner malgré les.

Bref, j'ai l'espoir subreptice - et toutefois vivace. Et si tu veux en parler à ton libraire, n'hésite pas. Quoiqu'encore méconnues en France, les belges éditions Luce Wilquin ont à coeur de - en pas qu'un peu, crois-moi.

A toi de voir.

1 commentaire:

Zoë Lucider a dit…

Oui, d'accord, mais si t'avais des exemplaires en vente directe que tu dédicacerais avec un petit verre, je passerai bien te voir. Hmmm ?
Une question : t'as vraiment besoin du robot nul qui faitch...?