Tu as raison, profitons des plages de silence laissées par les internautes juillettistes (que font les aoûtiens ?) pour nous y allonger, rien que nous deux. Pas de transat, merci, c’est comme le sucre dans le café, je préfère sans, contact direct avec le sol pour plonger les mains dans le sable. Soleil, vent sur nos peaux toutes proches. Je t’écoute les yeux fermés me raconter tes idées et tes blagues, me chanter tes chansons –tu as bien fait d’emporter ta guitare. Ta voix a cent visages, mais c’est toujours le tien. Un jour, on aura du temps rien que pour tous les deux.
Un jour, on ira à la mer.
Un jour, on ira se baigner.
Un jour, on écrira sur le sable le mot borborygme, et on s'entraînera à le prononcer, jusqu'à ce qu'il éclate à la face du monde.
En attendant, je t’aime, et puis aussi je t'aime.
(Au fait, Météo France prévoit un rapprochement des fronts en fin de semaine, et une forte hausse des températures… les normales saisonnières n’ont qu’à bien se tenir.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire