5.6.08

One fine morning

Défaite des Gonins - mais joli match tout de même.

Alors, remis en place ?

Oui, si l'on ne compte pas un nez et des lèvres un peu gonflés, quelques éraflures, la cheville torte et le dos cramoisi ; oui si l'on ne compte pas la légère impression de solitude d'après-match (était-ce un effet de l'absence de mon patch ?), le retour agité, la nuit sans Princesse qui préférait un verre en ville que passer la soirée avec un idiot bougon - et come je la comprends, malgré ma déception sur le moment de ne pas la trouver chez elle...


Faudrait que j'en parle à quelqu'un - cette impression persistance d'avoir un poids sur l'épaule, d'agir comme je ne veux pas, de marcher à côté de moi-même. Alors d'accord, les cigarettes pourquoi pas masquaient un peu cela, mais ces derniers jours me voilà impatient - retrouver un peu de lumière, un peu d'exactitude, de la grâce, enfin, puisque je sais qu'elle existe.

Bien, mis à part mes matinales jérémiades, La Teigne joue ce matin au profit du procès des faucheurs volontaires, place du Salin, près du tribunal. J'espère que d'où vous serez vous entendrez le boum-bam de la basse, et les voix des chanteurs (j'espère aussi que le juge sera sensible à la musique...)

Sinon, vous, ça psychote ?

1 commentaire:

Oh!91 a dit…

pour ce matin, attention quand même à ne pas régler trop fort le micro de Emma... Ce serait dommage que ça perturbe les juges. Entre parenthèses : vive les faucheurs volontaires !