2.10.09

743 - Depuis le matin


Le combat, plus jamais,
promettais-tu en silence,
Le conflit inutile, la lutte au goût de sang,
Les mouvements du coeur,
l'exaltation suspecte,
tu disais, jamais plus,
et la sagesse un jour.

Tu disais, jamais plus,
Et quand le jour se lève,
Tu remets tes habits,
Resserre ton manteau,
Et ceins à tes côtés ton épée inutile,
Pour rien, par habitude,
Parce qu'il faut que le coeur s'assure d'exister.

3 commentaires:

Zoë Lucider a dit…

coucou

Anonyme a dit…

c'est le fomage
Ouh ouh t'as mis le feu Manu dans ta banlieu?
En plus tu cause (tu Causse ouh ouh) baston!!!
Bon qui c'est qui t'embète mon manu?
Encore une gueusesse!!!
Allez on se voit à la cambrouse bisessss le fomage

Manu Causse a dit…

Coucou vous deux ! Ravi de vous voir de retour.

Personne ne m'embête, Fomage : c'était juste les réflexions d'un matin.

A la campagne, très bientôt.