Qu'attends-tu à l'heure sombre,
Qu'attends-tu
De cette bouche qui se vide
De ce lien qui retient / / étrangle,
Qu'attends-tu de savoir ce par quoi tu existes /
Que tu ne sais rien
Comme chacun le sait ?
Qu'attends-tu confondant
Envie besoin désir - tendre /et/ détresse ,
Qu'attends-tu à l'heure sombre
Au front de ta lumière seule
A la bascule de la nuit ?
Creuse, creuse la peine,
Tu as su, croyais-tu, espérer,
(Et face à la page tu t'acharnes Pour ajour/n/er la nuit).
1 commentaire:
Rien qu'un dernier vers, et le poème se trouve justifié.
Un peu de dét/tend/resse? (il faudrait placer le / en travers du t pour suggérer aussi la détente mais je ne sais pas faire).
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